Les enseignements bouddhistes suggèrent que l’esprit peut être contrôlé pour promouvoir la paix intérieure. L’histoire de Sun Wukong illustre ce concept, où il apprend à contrôler son esprit de singe par la méditation et l’autoréflexion. Les neurosciences de la méditation soutiennent cette idée et ont découvert que bon nombre des attachements aux pensées et aux émotions proviennent de parties spécifiques du cerveau. La méditation a un effet terne sur le réseau de mode par défaut et peut améliorer la communication entre différentes parties du cerveau, conduisant à une meilleure fonction cérébrale globale et à une plus grande résilience au stress. En outre, la méditation peut renforcer le cortex préfrontal et augmenter la concentration de la matière grise, ce qui peut contribuer à un bien-être psychologique accru.